miércoles, marzo 06, 2013

La peau dure

En mayo, en las librerías francesas.
Por Editions La dernière goutte

Le livre
Comédienne sur la touche, Violeta est dans une impasse : sa carrière s’enlise, ses amours sont un fiasco. Quand, à la suite d’un banal accident, elle perd une main, sa vie bascule soudain : même si elle a pu bénéficier d’une greffe, la cohabitation avec ce corps étranger est loin de se passer comme prévu, d’autant que sa main greffée semble dotée d’une personnalité singulière. D’où vient-elle ? A qui a-t-elle appartenu ? Et quel message tente-t-elle de faire passer à sa nouvelle propriétaire ? Bien décidée à découvrir la vérité, Violeta se lance alors dans une enquête pour le moins rocambolesque, à la recherche de celle à qui a appartenu sa main.

Métaphore de la difficulté d’apprivoiser l’étrangeté en soi, ce roman décapant explore avec humour l’insoumission des corps pour mieux dévoiler l’omniprésence des pulsions.

L’auteur
Fernanda García Lao est née en 1966 à Mendoza en Argentine. Contrainte de s’exiler à Madrid avec sa famille en 1976, elle retourne dans son pays d’origine en 1993 et s’installe à Buenos Aires. Comédienne et dramaturge, elle est l’auteur de plusieurs pièces de théâtre ainsi que de nombreuses nouvelles. La peau dure est son troisième roman publié par La dernière goutte.

Le blog de Fernanda García Lao: http://fernandagarcialao.blogspot.com

L’illustrateur
Auteur de nombreuses bandes dessinées, parues entre autres à L’Association, chez Atrabile, à La Cafetière, aux Requins Marteaux, chez Delcourt et aux éditions The Hoochie Coochie, Baladi crée des univers foisonnants où l’étrange tutoie l’absurde.




Violeta está en un callejón sin salida: su carrera como actriz se hunde, sus amores son un fracaso. Cuando, en consecuencia de un accidente banal, pierde una mano, su vida vuelca de repente: aunque puede gozar de un injerto, la convivencia con este cuerpo extraño es imprevisible, más aun cuando esa mano nueva parece dotada de una personalidad singular. ¿ De dónde viene? ¿ A quién perteneció? ¿ Y qué mensaje intenta comunicar a su nueva propietaria? Bien decidida a descubrir la verdad, Violeta se lanza entonces a una encuesta por lo menos fantástica, en busca de aquella a la que perteneció su mano.
Metáfora de la dificultad en domesticar la extrañeza en sí, esta novela corrosiva explora con humor la insumisión de los cuerpos para descubrir mejor la omnipresencia de las pulsiones.

VII Curso de crítica y creación literarias: la escritura como arte

Los lunes, de 19.00 horas a 21.00 horas Biblioteca del Centro Cultural Ibercaja Inscripción obligatoria Descripción Este curso de c...